Autour de la vallée de Chaudefour
miod > crapahutage > autour de la vallée de Chaudefour
Des trois vallées entourant le Puy de Sancy, la Vallée de Chaudefour est sans conteste la plus impressionnante, par ses reliefs tourmentés, ses sites d'escalade renommés (la Dent de la Rancune et la Crête de Coq) et sa flore abondante. Elle est également l'écrin de plusieurs cascades parmi les plus belles du département du Puy-de-Dôme.

Mais en ce lundi de pentecôte, je me proposais de faire le tour de la vallée par les crêtes (en partant de la vallée et en y revenant, tout de même). Le point de départ (et d'arrivée !) est donc le parking au bord de la route de Courbanges à Monneaux.

Le parcours culmine au Puy Ferrand, deuxième plus haut relief du Massif Central, après plus de six cent mètres de montée ; il est possible de faire un détour par le Puy de Sancy, ce que je n'ai pas fait cette fois-ci.

Environ 15 km en à peine moins de 5 heures (pauses comprises).

Itinéraire emprunté

En cliquant sur chacune des images dans la narration ci-dessous, vous aurez accès à la même image, en haute résolution (25 fois plus grande).

Départ du parking, il est désormais (depuis 2018 ou 2019, je ne me souviens plus...) nécessaire de payer le stationnement. Soyez malins : pendant que tout le monde fait la queue devant l'horodateur qui se trouve au bord de la route, allez au fond du parking, il y en a un deuxième moins visible et du coup ignoré par la plupart des visiteurs, sauf s'ils se sont garés devant. Attention, quel que soit l'horodateur choisi, il n'est possible de payer que par carte bancaire.
Une fois le stationnement payé, le chemin vers la vallée part devant la maison de site, dans laquelle vous pourrez consulter les prévisions météorologiques de Météovergne, ainsi que des expositions temporaires. Comme il y a beaucoup de monde, je ne prends pas de photo du chemin, de toute façon il serait difficile de se perdre à ce stade.
Après avoir passé la source Ste-Anne et le passage canadien au-dessus du ruisseau de la Couze de Chaudefour, j'arrive à la bifurcation d'où part, à droite, le chemin revenant vers Monneaux (que je vous montrerai sur le topo du Cirque de Monneaux que je n'ai pas encore pris le temps de prendre en photo par beau temps...)
Un peu plus loin en remontant le ruisseau, j'arrive à l'entrée de la vallée. Sans attendre, je me dirige vers la gauche, afin d'aller vers le flanc du Puy de Champgourdeix. Sur ma droite se dresse la Crête de Coq, au centre, et la Dent de la Rancune, plus à droite et ne se détachant pas du flanc du Puy de Cacadogne. Sur la gauche, le Puy Ferrand, et, plus à gauche encore, la petite bosse du Puy de la Perdrix. Entre la Crête de Coq et le Puy Ferrand, plus bas, l'imposante masse grise est le Dôme. Entre le Dôme et la Crête de Coq, le Pan de la Grange forme une petite bosse.
Vue centrée sur le Puy de Cacadogne. À gauche, la Crête de Coq, à droite, le Puy des Crebasses. La Dent de la Rancune ne se distingue pas du flanc du Puy de Cacadogne pour le moment.
Le chemin se dirige vers la Couze de Chaudefour. Au fond, le Puy Ferrand.
La Couze Chaudefour peut être franchie à gué, sauf au début du printemps où la passerelle en bois s'avère indispensable.
La passerelle franchie, je croise un autre randonneur.
Avant de commencer l'ascension du Puy de Champgourdeix et, pour ce faire, de pénétrer en zone boisée, je lance un dernier regard : de gauche à droite, le Puy Ferrand, le Dôme, le Pan de la Grange, la Crête de Coq.
Et en continuant sur la droite, le Puy de Cacadogne et le Puy des Crebasses.
Assez rapidement, j'arrive à une bifurcation entre le chemin menant à la cascade de la Biche, à droite (mais cul-de-sac), et celui montant au Puy de Champgourdeix. Le balisage n'est pas très conventionnel, mais efficace.
Très vite, le chemin devient très étroit, et fortement empierré (et, suite à l'orage de la veille, glissant à souhait).
Une trouée parmi les abres me permet de revoir la Crête de Coq (au centre), le Puy de Cacadogne et le Puy des Crebasses. Ainsi que, sur la gauche, le Dôme et le Pan de la Grange.
Rien de surprenant à ce que le chemin soit empierré : il traverse en fait un pierrier, même si la végétation le masque en partie.
Le chemin reste étroit, pentu et empierré.
Je sors enfin du pierrier, mais c'est pour atteindre un virage en épingle à cheveux qui va me faire revenir dans sa direction.
Heureusement, le chemin va passer juste au-dessus. Il reste étroit et pentu, mains moins glissant.
J'ai parlé trop vite.
Au virage en épingle à cheveux suivant, je peux voir la sortie de la vallée ainsi qu'une partie du parking.
Quelques minutes plus tard, je finis par m'élever au-dessus du niveau des arbres, et je peux de nouveau profiter de la vue sur le Puy Ferrand...
...ainsi que sur le Puy de Cacadogne. Cette fois-ci, on distingue bien la Dent de la Rancune à droite, et moins la Crête de Coq au centre, qui se distingue mal des zones à nu du flanc du Puy de Cacadogne.
Au bord du chemin, cette bosse n'est pas le sommet du Puy de Champgourdeix mais un leurre.
D'ailleurs le chemin, tout en la longeant, continue de monter.
Nouveau leurre de sommet.
De l'autre côté, le Puy Ferrand attend ma visite.
Tout comme le Puy de Cacadogne et le Puy des Crebasses. La Dent de la Rancune se détache assez bien, et la Crête de Coq commence à présenter son flanc, mais se distingue assez mal.
Du nerf !
Le sommet du Puy de Champgourdeix n'est plus très loin. Au bord du chemin, une famille de rochers est venue elle aussi profiter du paysage. Au loin, Puy de la Perdrix, Puy Ferrand, Puy de Sancy, rien de nouveau.
Vue recentrée sur le Puy de Sancy, montrant le Pan de la Grange et le Puy de Cacadogne.
En continuant le long de la crête du Puy de Cacadogne, le Puy des Crebasses...
...et, tout au bout, le Puy Jumel. Au centre, au fond, le Puy de l'Angle (large surface aplatie) et le Puy de Barbier (petit pic à droite).
Voici la famille de rochers : les parents et leur nombreuse marmaille.
La vue me donne l'impression d'être presque au pied du Puy de la Perdrix, il me reste tout de même un peu moins de trois cents mètres de dénivellée à monter.
J'approche du sommet du Puy de Champgourdeix. Derrière moi se dévoilent les deux sommets de la Montagne de la Plate.
Me voici au sommet du Puy de Champgourdeix, un extrêmum local sans grand intérêt puisque le chemin redescend à peine avant de remonter en direction du Puy de la Perdrix.
Cependant, depuis ce sommet, je peux désormais voir (pas grand chose pour le moment) vers le sud-est en direction de Super-Besse. Au centre, le Puy de Chambourguet.
Après un bref répit et une descente d'une vingtaine de mètres, le chemin repart en montée.
Le chemin devient de plus en plus érodé.
Derrière le Puy Jumel apparaît la Chaîne des Puys et en particulier le Puy de Dôme.
Le bâtiment du téléphérique du Puy de la Perdrix devient visible.
Vue en arrière vers la Montagne de la Plate, dont la forme explique bien le nom.
Sur ma gauche, Super-Besse devient visible. Derrière Super-Besse, peu visible car bordé d'arbres, le Lac Pavin et, juste à droite du lac, le Puy de Montchal. À droite de Super-Besse, le lac (artificiel) des Hermines.
La pente ne faiblit pas (air connu), et à ce stade, l'érosion rend la progression assez pénible.
Je peux désormais voir, sur ma droite, le relief tourmenté du haut du flanc nord du Puy de la Perdrix.
Plus ça monte, et plus ça monte (air connu).
En plus de Super-Besse et du lac des Hermines, je peux désormais apercevoir le Lac Chauvet, à droite. Mais le ciel brumeux ne permet pas de voir clairement au-delà de 7 à 8 kilomètres.
Je dédaigne le chemin conduisant au bâtiment du téléphérique de la Perdrix pour passer en contrebas des palissades. Au centre, le Puy de la Perdrix et sa table d'orientation.
Sur ma droite, le Puy de Cacadogne et le Puy des Crebasses, ainsi que la Vallée de Chaudefour.
La pente du sentier me masque de temps à autre le Puy de la Perdrix, c'est signe que je m'en rapproche. Le Puy Ferrand, lui, reste toujours visible.
Le Puy de la Perdrix est de nouveau en ligne de mire, mais le tracé du sentier va le contourner avant que je ne puisse y monter en revenant sur mes pas.
Il reste encore un peu de neige, mais sans doute pas de quoi faire un bonhomme.
Je passe donc en contrebas du Puy de la Perdrix.
Devant moi, le Puy Ferrand n'a plus l'air aussi impressionnant, sous cet angle.
Arrivé au col entre le Puy de la Perdrix et le Puy Ferrand, je pars à l'assaut du sommet du Puy de la Perdrix, tout proche. Notez les fils tendus pour essayer de dissuader les randonneurs de s'écarter du chemin et d'aggraver l'érosion du sol.
Me voici au sommet du Puy de la Perdrix. Il s'y trouve une table d'orientation dirigée vers la vallée de Chaudefour. Une deuxième table, dans la direction opposée, se trouve plus bas en retournant vers le bâtiment du téléphérique, mais je n'y passerai pas aujourd'hui.
Le Puy Ferrand, vu du sommet du Puy de la Perdrix. Notez que le chemin direct vers le sommet, au départ du col entre les deux reliefs, est interdit depuis quelques années pour cause d'érosion préoccupante. Par conséquent, je vais devoir aborder le Puy Ferrand depuis le côté ouest.
La Vallée de Chaudefour, vue du sommet du Puy de la Perdrix. Le flanc nord du Puy de la Perdrix commence en pente douce, qui masque ici le fond de la vallée. Sur la gauche, on reconnaît le Puy de Cacadogne et le Puy des Crebasses, ainsi que le Puy de l'Angle derrière le Puy des Crebasses.
En regardant plus vers le nord-est, la Montagne de la Plate et ses deux sommets, le Puy de Champgourdeix et le chemin par lequel je suis monté, mais aussi le Puy de Chambourget à droite, derrière la palissade.
Vers le sud, le Puy de Paillaret, et le Lac Chauvet juste à gauche.
Vers le sud-ouest, le Puy Gros et, juste devant, le Rocher des Trois Filles.
Entre le Puy de Paillaret et le Puy Gros, par temps clair, il est possible d'admirer les reliefs du volcan cantalien. Je me contenterai de faire appel à mes souvenirs aujourd'hui.
Vers l'ouest, presque entièrement masqué par le Puy Ferrand, se dresse la pointe du Puy de Sancy.
Je redescends en direction du Puy Ferrand ; le chemin va le contourner par le sud (sur la gauche).
Pendant que je contourne le Puy Ferrand, j'ai le Puy Gros en face de moi...
...mais le chemin va bifurquer en direction des installations du téléski.
Encore une belle vue du Puy Gros et du Rocher des Trois Filles.
J'approche du téléski...
...et je pars immédiatement sur la droite vers le sommet du Puy Ferrand.
Le sentier traverse ce dyke...
...et continue en pente douce jusqu'au sommet.
Ici aussi, un rocher est venu profiter du panorama : en face de lui se trouvent le Puy de Cacadogne, le Roc de Cuzeau derrière légèrement à gauche, et le Puy de l'Angle encore derrière. Au fond, plus à gauche et dans l'ombre, la bosse arrondie du Puy de l'Ouire. Côté droit, au loin le Puy de Dôme et une partie de la Chaîne des Puys.
Me voilà presque au sommet.
Du sommet, vers le sud-est, sans surprise, la vue donne sur le Puy de la Perdrix.
Vers le nord-est, le Puy de Cacadogne, le Puy des Crebasses et la Vallée de Chaudefour.
Vue recentrée sur la Vallée de Chaudefour. Contrairement au Puy de la Perdrix, les flancs du Puy Ferrand sont immédiatement abrupts, et comme je suis fouetté par les rafales de vent (ce qui rend la prise de vue un peu plus délicate afin de ne pas faire des photos floues...), je ne vais pas m'approcher davantage de la paroi.
Bon, en fait, si, j'ai trouvé une position un peu plus basse depuis laquelle la vue est un tantinet meilleure. Dans la vallée, sur la gauche, on distingue bien la Crête de Coq ; derrière dépasse la Dent de la Rancune, plus claire. À gauche de la Dent de la Rancune, la petite pointe claire est l'Arche.
Il est théoriquement possible de descendre le long de cette arête vers le Dôme, qui se distingue assez mal au centre, après le dyke. Depuis le Dôme, on dispose, paraît-il, d'une belle vue sur plusieurs cascades inaccessibles et guère visibles d'ailleurs, mais le franchissement du dyke a l'air assez difficile. J'irai voir une autre fois (si possible avec moins de vent).
Vue vers le nord-ouest : le Puy de Sancy. Mais aussi, juste à droite, le Puy Redon. À droite du bâtiment du Téléphérique et plus loin au fond, le Puy de Cliergue (en gris) et tout à droite, le Capucin. Derrière le Capucin, tout au fond, la Banne d'Ordanche. Et j'oubliais : devant le Capucin, le Pan de la Grange.
Vue recentrée sur le Pan de la Grange. Derrière se trouvent le Capucin et la Banne d'Ordanche ; à droite, le Puy de Cacadogne devant le Roc de Cuzeau et le Puy de l'Angle.
Vue sur le flanc nord-est du Puy de la Perdrix. Voyez comme la pente est douce sur quelques dizaines de mètres avant de s'infléchir fortement.
Je me dirige vers le rocher esseulé que je vous ai montré à la montée. Un autre petit rocher arrondi lui sert de couvre-chef.
Et c'est adossé à ce rocher que je m'autorise une collation en profitant de la vue (j'ai même sorti le pantalon de rando d'été tellement il fait bon).
Après être redescendu jusqu'au téléski, je continue à descendre vers le Col de la Cabane. Devant moi, le Puy de Sancy me lance une invitation silencieuse à le gravir.
Pendant la descente, sur ma droite, je peux voir le chemin qui m'attend : il contourne partiellement le Pan de la Grange pour remonter vers le Puy de Cacadogne.
En vue du Col de la Cabane, l'affluence au sommet du Puy de Sancy ainsi que sur ses flancs me dissuade d'y monter aujourd'hui.
Je jette un dernier regard à ma gauche sur le Puy Gros...
...avant de descendre vers le Pan de la Grange. En ligne de mire, la Montagne de la Plate.
Le Pan de la Grange, le Puy de Cacadogne juste derrière sur la gauche, et le Roc de Cuzeau à gauche, dont dépasse à peine le Puy de l'Angle.
Vers le nord, en contrebas, le bourg du Mont-Dore.
Je longe le Pan de la Grange.
Derrière-moi, il reste une belle langue de neige sur le flanc du Puy Ferrand.
Après être bien descendu, il est temps de remonter.
Sur ma droite, au loin, la Montagne de la Plate, et devant elle, beaucoup plus près, le Dôme. À gauche, la Crête de Coq et la Dent de la Rancune.
Le sentier contourne le Pan de la Grange à mi-hauteur. Devant moi, légèrement sur la gauche, le Puy de Cacadogne.
Le Puy de Cacadogne.
En regardant par-dessus mon épaule en remontant vers le Puy de Cacadogne, le Puy de Sancy (et une partie du Pan de la Grange à gauche).
Plus à droite, le Puy de Cliergue au centre, et le Capucin à droite.
Le chemin allant au Puy de Cacadogne est assez aérien ici.
Derrière-moi, le Puy Ferrand (et le Puy de la Perdrix juste à gauche, si vous avez une bonne vue).
Sur ma droite, le Dôme.
Derrière-moi, le Puy de Sancy et le Pas de l'Âne (entre le Puy de Sancy et le bâtiment du téléphérique).
Dans la montée du Puy de Cacadogne, je reprends de l'altitude, ce qui me permet de voir un peu plus de reliefs de la crête me faisant face à l'ouest : après le Puy de Sancy et le Pas de l'Âne, apparaissent maintenant à droite du bâtiment du téléphérique, le Mont Redon et la Tour Carrée.
Entre le Puy de Cacadogne et le Puy des Crebasses, ayant rattrapé plusieurs petits groupes de randonneurs qui me ralentissent et que je ne peux pas facilement dépasser car le chemin est étroit et il ne cesse de venir d'autres randonneurs en sens inverse, je m'octroie une pause et m'écarte un peu du chemin.
J'en profite pour prendre cette vue de la Dent de la Rancune (à gauche), de la Crête de Coq (au fond) et de l'Arche (au premier plan).
Gros plan sur ces trois sites d'escalade renommés.
La crête du Puy des Crebasses...
...vers lequel je m'apprête à retourner.
Les trois sites d'escalade, la Vallée de Chaudefour, et en face la Montagne de la Plate et le Puy de Chambourgeix. Sur la ligne reliant la Dent de la Rancune à la Montagne de la Plate, on distingue une petite zone grise : c'est le pierrier que j'ai traversé au début de la randonnée.
Je commence la redescente du Puy des Crebasses. Dans un premier temps, le sentier suit la crête...
...avant de s'en écarter lorsque celle-ci devient trop dangereuse. Le sentier va faire environ 25 lacets pour descendre tranquillement, ce qui me permet d'admirer tous les deux lacets le Roc de Cuzeau (à gauche) et le Puy de l'Angle (à droite).
Je peux également revoir le Puy Jumel (boisé, au centre) ainsi que le parking de la vallée de Chaudefour (à droite).
Vue en arrière sur le Puy Ferrand et le Puy des Crebasses.
La descente est rude, mais c'est tout de même moins fatiguant qu'à monter.
J'arrive au dernier endroit d'où je pourrai profiter d'un point de vue en hauteur...
...ce qui me permet de prendre cette photo de la vallée, avec la Crête de Coq et la Dent de la Rancune à droite (et même la petite pointe de l'Arche).
Le chemin se dirige vers le Bois de Sarrevielle et le Puy Jumel. On distingue cependant assez bien une trace plus claire qui part sur la droite pour redescendre dans la vallée.
M'y voici ! Il suffit de suivre le balisage orange, dont les poteaux sont suffisamment proches les uns des autres pour que le sentier puisse être trouvé par temps de brouillard (j'ai eu l'occasion de tester pour vous).
Le chemin descend vers la vallée en se frayant un chemin parmis les arbustes.
Dernier point de vue sur le Puy Ferrand.
Le chemin pénêtre dans la forêt.
Il traverse quelques ruisseaux, sans que cela ne présente de difficulté.
Une trouée offre une vue sur la Dent de la Rancune (et la Crête de Coq à gauche), malheureusement en contrejour.
Puis la descente continue parmi les arbres.
Il y a bien un obstacle, mais c'est pour la frime.
Ensuite, lorsque le chemin s'apprête à faire un lacet a proximité de la lisière...
...je vous conseille de prendre le temps de monter vers la lisière (montée courte mais ardue)...
...car elle mène à l'une des meilleures vues sur la Dent de la Rancune, à mon avis (c'est un de mes petits secrets de la Vallée de Chaudefour).
La Dent de la Rancune.
De retour dans la forêt.
Un dernier ruisseau à franchir à gué, et je retrouve le fond de la vallée.
Je n'ai plus qu'à revenir vers le parking.
Mais après le passage canadien...
...je remonte un peu le long de la rivière...
...pour m'arrêter à la source ferrugineuse Sainte-Anne.