En arrivant par l'ouest, par Vasséjoux, un belvédère est aménagé à proximité de
l'un des lacets de la route.
A proximité du belvédère, quelques ruches sont dissimulées, telles que celle-ci.
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Le belvédère, vu depuis ladite ruche.
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Le viaduc n'est pas encore visible, bien que l'un des piliers soit faiblement
visible parmi les arbres.
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Depuis le belvédère proprement dit, on peut admirer la vallée de la Luzége, sans
toutefois voir la rivière (ou à peine) car la vallée est trop encaissée.
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Le viaduc, quant à lui, est partiellement visible.
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Gros plan sur le pilier, ainsi que la roche sur laquelle il est adossé. La paroi
rocheuse est presque verticale.
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Après avoir poursuivi mon chemin jusqu'au pied du viaduc, le chemin reliant les
deux côtés du viaduc est très clairement indiqué.
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Il y a même l'embarras du choix.
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Avant d'emprunter ce chemin, je vais tout de même m'approcher du viaduc. Le
voici enfin dans sa totalité. Notez la grille interdisant l'accès au tablier.
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Le viaduc est classé monument historique depuis le 6 décembre 2000.
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Après le démantèlement de la ligne du transcorrézien, celle-ci est devenue une
route étroite pour automobiles, comme le rapelle ce panneau interdisant le
tablier aux piétons.
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Puis la route a été fermée à la circulation automobile et ouverte aux piétons.
Mais compte tenu de son vieillissement et du manque d'entretien, l'accès est
désormais totalement interdit pour raison de sécurité.
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Deux plaques, sur ce pilier, gardent trace de la construction du pont...
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...ainsi que de son inauguration.
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À travers la grille, voici à quoi ressemble le tablier. La rouille commence à
faire son oeuvre.
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Vue complète du pilier. Notez les câbles au sommet.
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Ceux-ci sont solidement ancrés dans la roche, derrière.
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Vue sur l'autre pilier et le tablier. La route continue directement dans un
tunnel.
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Au début de la descente par le chemin, cette autre vue du tablier montre mieux
l'organisation des câbles le retenant.
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Le chemin est fortement pentu et descend rapidement vers la Luzège, visible en
contrebas.
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Le franchissement de la Luzège s'effectue par une passerelle himalayenne, les
deux extrémités n'étant pas à la même altitude. Celle-ci ayant été installée en
2014, pour le centenaire du viaduc (avec un peu de retard !).
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La passerelle est encore en excellent état, et l'emprunter ne présente aucun
danger.
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Depuis le milieu de la passerelle, la Luzège en amont...
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...et en aval.
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Vers l'aval, le tablier du viaduc est discernable derrière les arbres.
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On le voit un peu mieux une fois arrivé au bout de la passerelle.
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La passerelle, vue depuis l'autre rive.
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Le chemin franchit facilement un ruisseau affluant de la Luzège.
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En s'écartant du chemin, il est possible de descendre jusqu'au bord de la
Luzège, en franchissant cet autre ruisseau.
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La passerelle vue depuis le bord de la Luzège.
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Toujours la passerelle, depuis un peu plus loin le long de la rivière.
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Cependant, suivre le cours de la rivière n'offre aucune vue dégagée du viaduc.
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En période de basses eaux, il doit être possible de traverser à gué ici pour
continuer sur l'autre rive, mais ce ne serait pas raisonnable en ce jour.
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Au sol, c'est le début du printemps.
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Après une remontée aussi abrupte que la descente, le chemin retrouve la route,
de l'autre côté du viaduc. Une ancienne citerne du transcorrézien s'y trouve.
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Ainsi qu'un ruisseau tout proche.
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Gros plan sur la citerne.
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Sur la route vers le viaduc, ce panneau est censé rassurer les promeneurs sur
l'état du tunnel. Mais sans les accents, faut-il comprendre « tunnel
éclairé », ou que le « tunnel éclaire » ?
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L'entrée du tunnel. Celui-ci est éclairé par des néons, mais le premier néon est
grillé ou débranché...
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Une fois dans le tunnel, les néons restants sont suffisamment proches les uns
des autres pour qu'il soit possible de le traverser sans difficulté.
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Le bout du tunnel.
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La vue en sortie du tunnel.
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La roche est bien usée au début du tablier.
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Le tablier vu depuis la grille.
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La Luzège en aval est (difficilement) visible à la gauche du pilier.
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Ayant fait demi-tour, voici l'autre extrémité du tunnel.
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Un chemin longe le tunnel par l'extérieur sur quelques dizaines de mètres, avant
que l'escarpement ne devienne infranchissable. Au bout du chemin, hélas, pas de
vue suffisamment dégagée sur le viaduc.
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Retour à la citerne, le chemin du retour y est également fléché.
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Très vite, la passerelle est en vue.
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La fin de la remontée est tellement pentue que l'un des escaliers aménagés pour
faciliter le passage ne peut pas avoir ses marches suffisamment profondes.
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