Le barrage de Pouzas
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Avec son proche voisin le barrage de la Valette, le barrage de Pouzas est le deuxième barrage de l'Ance - pardon, l'Ance du Sud afin de la différencier de l'autre Ance qui coule en Haute-Loire, mais plus à l'est, et est un affluent de la Loire - entre Saint-Préjet d'Allier et Monistrol d'Allier.

Comme son nom l'indique, il se trouve à proximité du hameau de Pouzas. Placé juste après le confluent entre la Virlange et l'Ance, il bénéficie des eaux des deux rivières.

Le barrage en bref :

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La route de Monistrol à Saint-Préjet (D332) passe le long du barrage.
Oui, bon, c'est un barrage, quoi, pas une piscine.
La retenue du barrage depuis la route.
L'aval du barrage depuis la route.
Le barrage est plein, mais l'aval est bien encombré.
Il s'y trouve un vieux pont de pierre qui a connu des jours meilleurs.
Le barrage depuis le pont de pierre.
Le barrage depuis le bord de l'aval, au plus près du mur...
...lequel mur est habité par de la mousse en grande quantité.
Autre vue du barrage et du déversoir.
Un peu plus loin en amont, un sentier quitte la route pour aller au moulin de Pouzas, et accessoirement l'autre rive de l'Ance. Depuis le pont sur l'Ance, voici le lac de barrage, avec le barrage au fond.
Le chemin enjambe aussi la Virlange avant qu'elle ne se jette dans l'Ance. Ici, la Virlange en aval du pont...
...et là, la Virlange en amont.
Le barrage.
Il n'y a aucune turbine de production d'électricité dans le barrage de Pouzas. Les eaux captées par le chenal de la photo précédente sont conduites jusqu'à l'usine de Monistrol d'Allier par un canal, en grande partie à ciel ouvert, d'un peu plus de quatre kilomètres (un pont siphon lui permet de traverser la route un peu en aval du barrage, le pont étant bien visible depuis la route). On voit ici le début du canal, entre les marches et le restant du barrage.
Autre vue du barrage, avec la D332 au fond.
La hauteur du barrage n'est pas très élevée, un peu moins d'une dizaine de mètres.
Gros plan sur les équipements en amont. Ceux-ci servent à contrôler le volume d'eau prélevé par le canal.
Autre vue un peu plus en hauteur.

Quelques mois plus tard, la retenue est pleine et le trop-plein d'eau s'évacue naturellement par-dessus le barrage, masquant la maçonnerie ainsi que l'herbe s'y accrochant.
Le barrage de profil. La maçonnerie reste visible sous l'eau claire.
Au bord du barrage, le déferlement de l'eau est quelque peu impressionnant...
...et provoque une accumulation d'écume en contrebas.
Le barrage vu de l'aval.